Le marathon, le 100km et le 24 heures par les chiffres. Ma pratique de la course à pied.
En résumé :
En juillet, en guise de préparation pour les 100 km de Theillay à la fin août, je me suis adonné à fond au vélo sur route afin d’accumuler de la fatigue sans trop tirer sur les jambes. J’ai donc fortement limité le kilométrage de CàP (seulement 172 km) mais j’ai multiplié les séances de vélo à fond la caisse sur le parcours vallonné de Richmond Park.
J’ai également travaillé l’endurance au long cours en enchaînant en six occasions différentes de la course après une session éprouvante de vélo. Je dois avouer avoir trouvé assez délicieuse la sensation de fatigue qui se manifeste dès le début de la séance de CàP, quand j’ai déjà bien donné dans les côtes pendant deux heures sur mon vieux vélo qui fait rire les fortiches des Kingston Wheelers.
Le meilleur de ces duathlons improvisés consistait en 62 km de vélo puis 15 km de CaP, soit une dépense énergétique équivalente à celle d’un marathon. Ma femme désapprouve ces débauches d’énergie, mais je lui affirme que ce n’est pas dangereux.
L’objectif était d’arriver en vacances en France, début août, bien fatigué, pour n’avoir envie de rien d’autre que de séances à VS100 en mode Cyrano, de préférence, afin de parachever ma « préparation » pour les 100 km de Theillay le samedi 27 août. J’étais effectivement bien à plat, mais j’ai rapidement regagné mon énergie.
(credit photo: www.letour.fr)