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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 19:25

Depuis longtemps déjà je souhaitais expérimenter la méthode Cyrano, dont l’objectif est d’intercaler des phases de marche brèves lors de longues sessions de course en endurance.

 

Cette méthode originale me semble être celle qu’il me faudrait privilégier si je me décide à courir par exemple les 100 km de Steenwerck avec un minimum de préparation (mais alors vraiment le minimum du minimum, vu qu’il ne me reste que trois semaines d’ici l’épreuve). JP75018 explique en détail sur son blog les paramètres préconisés, suite au retour d’expérience de coureurs ainsi qu’à la lumière de ses propres tentatives d’application de la méthode Cyrano.

 

Je me suis donc lancé hier après-midi, deux jours après le semi de dimanche dernier : une séance tout en douceur pour accommoder d’éventuelles douleurs ou raideurs résiduelles dans les jambes. Je suis parti pour 12 kilomètres en 1h12, selon un cycle Cyrano composé de 11 minutes de course suivies de 1 minute de marche. L’objectif était de maintenir une allure moyenne de 6:00 au kilomètre, soit 10 km/h, ce qui me permettrait de terminer un 100 km en 10 heures exactement. J’ai contrôlé au Garmin l’allure moyenne, et je suis parvenu à maintenir une régularité correcte.

 

J’ai bien apprécié le rythme relativement modéré des sections courues. Je me rends bien compte qu’une séance aussi courte ne constitue pas un essai « grandeur nature », mais comme l’indique JP75018, il faut développer les bonnes sensations, en particulier être capable de bien négocier le retour à la course après la portion de marche, sans céder à la tentation de partir vite.

 

Le graphique ci-contre montre la succession de portions courues et marchées, ainsi que l’évolution de l’allure moyenne.

 

CyranoChart1.JPG

 

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 18:10

Pendant un marathon, la régularité et la maitrise de l’allure sont des facteurs de succès essentiels. En effet, la longueur de l’épreuve n’empêche pas le risque de défaillance, elle le crée même, et il est tout à fait possible de perdre de nombreuses minutes vers la fin de la course en cas de mauvaise gestion de l’allure et de l’effort. C’est d’ailleurs ce qui rend le marathon si difficile à maitriser, et ce qui fait son charme.

Il faut donc établir un plan de gestion de l’allure très précis, en tenant compte d’un possible petit coup de pompe dans les 5 ou 10 derniers kilomètres. J’ai même totalement intégré cet aspect dans ma planification de la course.

 

Une bonne façon, en tout cas qui me convient personnellement, d’utiliser une montre de type Garmin pendant un marathon, c’est de délaisser sa capacité à mesurer les distances mais d’utiliser au maximum sa capacité à compter des tours (« laps ») et à calculer le lap moyen.

 

Les trois hypothèses sous-jacentes permettant cet emploi du Garmin sont (i) la mesure exacte du parcours par les organisateurs, (ii) le marquage régulier et exact des distances tout au long de la course, idéalement tous les kilomètres, et enfin (iii) la prise de lap à chaque passage de kilomètre sans erreur.

 

Quels sont les paramètres qui doivent être affichés à l’écran ?

  1. Le temps total écoulé depuis le passage de la ligne de départ, y compris les secondes. Il est important que les secondes soient visibles si on doit absolument terminer en un temps cible maximal, par exemple pour une qualification à Boston ou pour un dossard préférentiel dans quelques grands marathons. Si j’affiche quatre paramètres sur mon Garmin, pour des temps supérieurs à une heure de course, les secondes ne sont plus visibles par manque de place.
  2. La durée du lap (kilomètre) moyen, ce qui permet de contrôler l’atteinte de l’objectif. Par exemple, pour un objectif de 3h15, il faut courir le kilomètre à une moyenne de 4:37. Une moyenne plus rapide que 4:37 pendant la course indique qu’on a un peu de marge disponible pour terminer en 3h15 au maximum. Une moyenne plus lente indique que l’objectif est probablement compromis.
  3. La durée du dernier lap (kilomètre) couru : il est ainsi possible d’avoir une idée fiable de son allure actuelle, et d’accélérer ou de se reprendre si nécessaire, ou encore de ralentir un peu afin de conserver une allure régulière proche de l’allure cible.

 

La  photo ci-dessous montre un exemple des paramètres que j’affiche pendant la course.GarminForMarathon.jpg

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15 mars 2011 2 15 /03 /mars /2011 11:36

Après plus de vingt ans de pratique, pas toujours assidue, de la course à pied,  je me suis résolu à l’achat d’une montre Garmin 305 équipée de GPS en octobre 2010, juste avant de courir mon troisième marathon.

 

MapMyRunLogo.jpgJ’en avais assez de mesurer les distances de mes parcours de CaP : cet exercice est très fastidieux. Vers la fin des années 80 et le début des années 90, je mesurais les distances à la règle sur les cartes IGN au 25 000 (1 cm équivaut à 0,25 km). Depuis quelques années, j’utilisais des sites internet comme MapMyRun pour mesurer plus facilement mes parcours et pour les archiver.

 

garmin-forerunner-305-montre-5010583Dorénavant, je me sers souvent de ma montre Garmin pour mesure les distances et l’allure moyenne. J’ai remarqué que la mesure de l’allure instantanée est très instable, donc pas fiable. Je préfère mesurer l’allure moyenne depuis le départ ainsi que l’allure moyenne sur chaque portion successive de 1 km ou de 500 mètres.

 

Je pense que la précision du GPS est suffisante quand il s’agit de mesurer des parcours en ligne droite ou comportant peu de virages à angle aigu : une erreur de l’ordre de 1% à 2% est tout à fait acceptable. Par exemple, sur le dernier marathon Seine-Eure, la distance totale mesurée par le GPS était de 42.46 km, soit une erreur de  0.6% sur un parcours en ligne.

 

En revanche, sur des parcours présentant de fréquents changements de direction assez marqués, le GPS tend à surestimer nettement les distances, ce qui par conséquent résulte en une nette surestimation des allures. Je peux citer deux exemples :

  • J’ai couru un 10 km sur piste en 43:18 en octobre 2010 : le GPS marquait 10.51 km, soit une erreur de 5.1% sur la distance, qui se traduit par une allure moyenne mesurée égale à 4:07 contre une allure réelle de 4:20, soit 13 secondes de différence au kilomètre.
  • Lors de la sortie longue de la semaine 8 de la préparation au marathon de Paris 2011, j’ai effectué deux fois 25 minutes à allure marathon sur piste, donc en contrôlant scrupuleusement les temps au kilomètre et les distances totales. J’ai parcouru 5.55 km en 25:00 exactement, soit une allure moyenne de 4:30 au kilomètre, qui correspond pile poil à l’allure cible. Le Garmin annonce une distance de 5.86 km (5.6% d’erreur), et une allure moyenne de 4:16 au kilomètre, soit une allure 14 secondes plus rapide que l’allure moyenne atteinte en réalité.

 

Ces constatations, déjà anciennes, m’ont donc conduit à ne jamais me fier aux indications de distance ou d’allure du GPS pour mes séances de travail à allure spécifique ou de VMA longue. Je préfère de loin m’en remettre à une mesure exacte des distances, soit en effectuant cette partie de mes séances sur une piste d’athlétisme, soit en mesurant sur MapMyRun.com des distances de 1 km exactes successives et à prendre mes temps de passages aux km complets lors de mes séances.

 AnyTrack.jpg

Au-delà du problème de la précision de la mesure de l’allure, je pense qu’il est dangereux de faire trop confiance au GPS lors des séances de travail de l’allure spécifique car il tend à systématiquement surestimer l’allure réelle, et peut donc conduire le coureur qui s’entraine à viser une allure en réalité plus lente que son allure cible. Le jour de la course, alors qu’il sera confronté à une mesure exacte des distances sur le parcours du marathon, avec marquage tous les kilomètres, il découvrira avec étonnement que l’allure cible lui demande un effort bien plus important que celle à laquelle il s’est entrainé pendant sa préparation.

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 11:16

Pour la première fois de ma vie, j’ai fait un bilan chez une kinésithérapeute. Les conclusions sont assez rassurantes et très utiles :

 

  1. Je ne suis ni pronateur ni supinateur. J’étais pronateur quand j’étais plus jeune, mais ce défaut a disparu.
  2. Je porte des chaussures de course à pied adaptées à mon poids et à ma démarche.
  3. J’ai un léger problème d’alignement hanche-genou-cheville à la jambe droite. La kiné m’a montré un exercice à faire pour corriger cet alignement en développant un certain muscle de la cuisse vers la face interne du genou.
  4. La kiné m’a encouragé à continuer à m’étirer après chaque séance de course à pied, mais aussi à m’étirer pendant la journée, en particulier lors de longues stations assises.
  5. Elle m’a conseillé de prendre un bain froid après le marathon, pour accélérer la récupération des jambes, mais également de me faire masser les jambes tout de suite après la fin de la course, puis une nouvelle fois 4 à 7 jours plus tard.
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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 12:31

Suite à un commentaire laissé par LaurentP après sa lecture du billet consacré à l’estimation de performance sur 100km, je voudrais expliquer pourquoi je délaisse les courtes distances.

 

Il y a une vingtaine d’années, lorsque j’étais étudiant, j’ai découvert la course à pied en compétition et j’ai couru pendant 4 ou 5 ans des 10km, des 20km et des semi. J’ai par exemple couru les 20 km de Paris à 5 tetiere logo 20kmreprises, avec un meilleur temps de 1h19 en 1989. Je ne me suis jamais inscrit dans un club. Je m’entrainais bien moins que maintenant, avec un volume hebdomadaire très rarement supérieur à 3 heures. La plus longue distance pour moi à cette époque, c’était le semi ou le 20 km, ma distance préférée également. Je m’étais rendu compte que j’étais moins bon sur 5 ou 10 km, pourtant je courais régulièrement en performance sur ces distances courtes, rarement en compétition, plutôt sur des parcours mesurés de ma connaissance. J’avais d’emblée, et semble-t-il pour toujours, exclu le marathon de mes objectifs de course à pied, jugeant la distance trop ambitieuse pour moi. Jeune comme j’étais, je pouvais encaisser des séances assez dures, bien que je fasse rarement du fractionné. C’est juste que je courais tout le temps vite, en quelque sorte. Je privilégiais les distances courtes.

 

Ensuite, entre 1997 et 2006, je n’ai pour ainsi dire presque pas couru. Début 2006, mon beau-frère cardiologue m’a mis au défi de courir un marathon avec lui. Je ne me suis pas dégonflé, sachant tout de même que mon surpoids, la distance et mon manque chronique d’entrainement allaient me causer de marathon Seine Eure 2009 affichesérieuses difficultés. Nous avons couru ensemble, en octobre 2006, le marathon Seine-Eure. Je dois dire que j’en ai bavé : 96 kilos au départ, une gestion catastrophique de la course couronnée par la prise du mur en pleine poire au trentième kilomètre… Bref, arrivée tout de même en 3h42, et ce marathon a totalement changé ma perspective de la course à pied : je n’avais plus peur de la distance.

J’ai par la suite, à partir de 2007, nettement allongé les distances moyennes et maximales à l’entrainement, me promettant de courir d’autres marathons. Cette occasion ne s’est pas présentée avant 2010, après une parenthèse consacrée à un épisode de perte de poids et certains événements familiaux.

 

L’augmentation significative de mon volume à partir de la mi-2009, ainsi que les ravages de l’âge, m’ont fait comprendre que si je voulais durer, je devais me consacrer aux longues distances, et en premier lieu au marathon, tout simplement parce qu’on y court bien plus lentement que sur les courtes distances. En plus, MDP11logoj’ai vraiment été emballé par l’incertitude du marathon : on n’est jamais certain de réussir ce subtil exercice de gestion des ressources du corps, au bout duquel on doit avoir tout dépensé sans se mettre dans le rouge. Je n’ai fait que trois marathons, donc je suis loin d’en avoir épuisé les joies. J’attends avec curiosité ma première vraie contre-performance, par exemple un abandon, ou même un forfait avant une course.

 

ecusson_UFO.pngNaturellement, je suis conduit à m’intéresser aux distances supérieures, dont le 100km, et éventuellement les courses horaires. L’offre de courses d’ultra ici en Angleterre, où je vis, est un peu pauvre, ou alors c’est essentiellement du trail, surtout dans les régions du Kent ou du Sussex, au sud de Londres. Ca ne m’intéresse pas pour le moment. Donc je reste toujours branché sur le monde de la course à pied sur route en France. Pareil pour les marathons : mis à part le marathon de Londres, qui est très difficile d’accès, il n’existe pour ainsi dire pas de marathon plat dans le sud de l’Angleterre (peut-être Brighton ?). Ah si : Abingdon, en octobre. A voir donc.

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 10:25

Le marathon reste ma distance de prédilection : je n’en ai pas encore épuisé les joies, notamment celles de l’incertitude de la course et des exigences de sa gestion.

Il me reste encore à atteindre ma performance optimale, qui devrait se situer autour de trois heures, et peut-être même légèrement en dessous. Ce ne sera pas cette année que j’y arriverai. Le temps joue contre moi, puisque j’ai déjà 43 ans, et que mes performances, potentielles et observées, sont en train de décliner. J’imagine qu’il me faudra quelques années de travail régulier et structuré pour me rapprocher des trois heures. Je m’attends à quelques contre-performances et blessures sur le chemin des trois heures.

Il me faut parvenir à perdre encore du poids pour tomber vers 77kg pour 1m86. J’en suis à 86kg, donc il y a encore de la marge.

 

Compétitions et performances

 

Pour en revenir à mes objectifs pour 2011, je reste concentré sur le marathon et je ne cours que très peu de compétitions :

  • 10 avril: Marathon de Paris. L’objectif est 3h10, ce qui me permet de confirmer ma qualification au marathon de Londres 2012 au cas où 3h14’38 serait jugé insuffisant, bien qu’en dessous des 3h15. Un temps inférieur à 3h10 me qualifierait également pour NY 2012.
  • 8 mai : semi de Richmond. Ce sera mon premier semi officiel sur route depuis 1999. L’objectif est 1h30, soit les minimas qualificatifs pour le marathon de New York 2012.
  • 16 octobre: Marathon Seine-Eure. Objectif : consolider les 3h10, avec, si une éventuelle perte de poids le permet, une baisse vers les 3h05. Egalement une troisième occasion de se qualifier pour NY 2012.marathon Seine Eure 2009 affiche

 

Pour clore le chapitre des minimas qualificatifs, un temps inférieur à 3h10’59 me donne accès au corral A au marathon de Chicago, par ailleurs réputé très roulant, au contraire du marathon de NY. Qu’il s’agisse de Londres, NY ou Chicago, il ne faut pas que je tarde à me qualifier pour ces marathons si je veux les courir dans de bonnes conditions, sinon la qualification sera de plus en plus difficile à mesure que je vieillirai. Se qualifier pour le marathon de Boston reste du gâteau en revanche : les minimas sont très accessibles, et augmentent de 5 ou 10 minutes par tranche de 5 ans.

 

L’année 2012 est donc le meilleur choix pour courir ces marathons. Je peux envisager de courir Londres au printemps 2012, en performance, de courir Chicago vers la mi-octobre 2012, toujours en performance, puis de courir New York le premier dimanche de novembre 2012, soit trois semaines après Chicago. Evidemment, la contrainte est d’effectuer deux voyages aux Etats-Unis en un mois.

 

Volume de course et entrainement

 

  • Kilométrage annuel : 3000km, soit 250km par mois en moyenne
  • Deux jours de repos par semaine 
  • Courses ‘off ‘ : de la mi-mai à la fin juillet, soit 11 semaines
  • Préparations marathon :
    • De fin janvier à début avril : MDP
    • De mi-août à mi-octobre : Seine-Eure
  • Baisse de volume en novembre et décembre : 200km et 150km respectivement

 

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21 décembre 2010 2 21 /12 /décembre /2010 10:02

Récupération : période comportant un arrêt ou une diminution sensible de la quantité ou de l’intensité de l’entrainement

 

Suite à une sortie rapide qui s’est prolongée de façon imprévue sur 25km, jeudi dernier 9 décembre, des douleurs persistantes et inhabituelles à l’intérieur des deux genoux m’ont fait comprendre qu’il fallait se ménager de temps en temps, donc être capable de réduire de soi-même, hors des périodes d’entrainement marathon, la fréquence et l’intensité des séances de course. Revenant sur le mois de novembre, je me suis rendu compte que j’ai couru trop dur, et trop souvent (28 séances).

En conséquence, le mois de décembre sera très allégé : environ 190 km seulement en 15 séance et 17 heures, à faible, voire très faible allure. Je me réserve même une semaine complète de coupure entre le 22 et le 29 décembre. Enfin, je reprendrai en janvier de manière prudente jusqu’à la date de début de mon plan marathon pour le MDP 2011, un plan qui s’annonce exigeant et intense.

 

UFO-Mag-75---CouvIl y a avait même un article consacré à la récupération dans le numéro de novembre 2010 de Jogging International. Je l’ai lu avec attention (en dépit de mon opinion assez mauvaise du magazine en question que je continue d’acheter lors de mes passages en France environ 2-3 fois par an), et j’en ai conclu qu’il fallait s’y résoudre, sous peine de blessure persistante.

Du coup, je me suis dit que j’allais faire de la réclame pour un magazine qui m’enchante particulièrement (il y en a d’autres sur lesquels je reviendrai peut-être), bien que je ne pratique pas encore l’ultra : Ultrafondus. En vignette, on trouvera la couverture du numéro de décembre.

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 10:14

J’ai établi une liste de tests simples que je désire faire dans les mois qui viennent. Ce sont des tests sur piste pour la majorité d’entre eux, dont l’objectif peut être d’établir un ou des temps de référence, ou bien d’estimer localement certains paramètres de performances tels que la VMA ou l’endurance.

 

#

Type

Critère d’arrêt

Protocole

Objectif

1

Paramètre

Temps : 6 mn

6 mn sur piste à vitesse maximale

Mesure de la VMA (estimation actuelle : 16.0 km/h)

2

Performance

Distance : semi

Semi sur piste

1h29’41, soit 4’15 au km

2’

Performance

Distance : semi

Semi sur piste

1h27’55, soit 4’10 au km

3

Performance

Temps : 1 heure

Sur piste

Intermédiaire entre 10k et semi

4

Paramètre

EFT(semi)>1h25 :allure  > 4’01.7/km après 7 km ; en pratique dès que allure moyenne = 4’02

Allure fixe de 4’00/km sur piste

Distance maximale parcourue à l’allure d’un semi à 1h24’24,  pour 2h59’59 au marathon (ratio de 2.13)

5

Paramètre

Temps : 12 mn

Cooper sur piste

Mesure de la VO2 Max

6

Performance

Distance : 3 km

Sur piste

Temps de référence

7

Performance

Distance : 5 km

Sur piste

Temps de référence

8

Performance

Distance : 10 km

Sur piste

Temps de référence

 

Bien entendu, ce sont les tests sur courtes distances qui me seront les plus pénibles, puisque je n’ai pas de vitesse fondamentale, mais plutôt de l’endurance. Les beta-bloquants de mon traitement contre l’hypertension artérielle me brident probablement.

 

Le test numéro 4 a pour objectif de m’aider à me rapprocher d’un marathon en (moins de) 3 heures : il teste ma capacité à finir un semi en 1h24’30, performance minimale requise pour courir le marathon un poil en dessous de 3 heures si j’applique le ratio de 2.13 entre les temps sur les deux distances.

 

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 13:38

A friend of my wife’s had been insisting on lending me her Garmin 205 watch, just for me to try it and see how great it is. So I had a go yesterday. After a few minutes spent searching and locking the satellites, I went for a well known run of mine, along the river through Wandsworth and  Putney, to Hammersmith and back. I measured this run on a number of web sites such as  Mapmyrun.com, so I knew quite well the distance at several points along the way and could check the distance readings on the Garmin watch.

This was amazingly accurate, but I am guessing that the impression of accuracy is reinforced by the meter precision delivered by the toy. Instantaneous pace reading can move about, up and down, seemingly randomly, but provided an OK view of the pace. Average pace is naturally more accurate and quite useful. I could have used the lap function to check my pace kilometer after kilometer, but did not, as I did not have the manual of instructions and did not want to spend ages fumbling with the thing.

 

Faced with the perennial problem of estimating the distance actually run, even on more familiar runs, I may decide to buy one of these, possibly the latest model, the 310XT, that is apparently easy to use straight out of the box.

I am still slightly reluctant to acquire a gadget that will be a new source of  numbers and date, with which I will further waste time. However, this is very useful to control your pace when you a steady run or even some repetitions, for instance 1km reps.

 

In total : 18.8km in 1:31:30, average pace of 4:54

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Présentation

  • : Marathon: les chiffres
  • : Le marathon, le 100km et le 24 heures par les chiffres. Ma pratique de la course à pied.
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Bilan 2014 au 7 février

  Sorties Km Temps
CaP 53 472 51h22
lo 4 91

Rechercher

Kilométrage annuel

Année

CaP

Vélo

2006

1,470

0

2007

1,706

0

2008

631

0

2009

1,978

0

2010

3,298

0

2011

2,733

1,772

2012

2,691

2,166

2013

3,819

893

Archives

Courses et chronos

  Marathons Temps
  Seine-Eure 2006 3:42:46
  Paris 2010 3:17:49
  Seine-Eure 2010 3:14:38
  Paris 2011 3:48:25
  Luton 2011 3:28:32
  Brentwood 2012 4:09:19
  Luton 2012 3:38:52
 

Londres 2013 

3:34:44
  Harrow Track 2013 3:38:57
  Seine-Eure 2013  3:29:10
  100 km Temps
  Steenwerck 2011 10:42:44
  Theillay 2011 10:42:37
  Crawley 2012 11:45:33
  Redwick 2012 11:31:09
  Steenwerck 2013 11:42:04
  Tooting Bec 2013 10:15:20

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