Semaine 12 (18 au 24 mars) : CàP : 63 km en 5h32 et 4 sorties ; vélo : 28 km en 1 sortie
Semaine 13 (25 au 31 mars) : CàP : 53 km en 5h01 et 4 sorties ; vélo : 57 km en 2 sorties
Semaine 14 (1 au 7 avril) : CàP : 92 km en 9h17 et 6 sorties ; vélo : 0 km
Semaine 15 (8 au 14 avril) : CàP : 16 km en 1h21 et 1 sortie ; vélo : 0 km
Semaine 16 (15 au 20 avril) : CàP : 9 km en 1h07 et 2 sorties ; vélo : 22 km en 2 sorties (côtes)
J’ai levé le pied pendant les deux dernières semaines de mars tout en réintroduisant un peu de vélo. Je suis reparti sur une grosse semaine à 92 km en semaine 14 (1er au 7 avril), avant de m’octroyer une avant-dernière semaine presque blanche : six jours de repos total puis seulement 15,4 km le dimanche 14 avril au parc Suzanne Lenglen, dont 12 km sur piste avec 5 km à VS42. Excellentes sensations.
Bilan de cette « prépa » marathon : je suis toujours aussi peu capable de faire une prépa suivie. En revanche, j’ai fait attention à emmagasiner un volume de CàP suffisant depuis le 1er janvier, avec un total de 1017 km de CàP en 76 sorties, et un petit 379 km de vélo en 13 sorties. J’ai effectué de bonnes sorties longues de 30-31 km en y incluant toujours 2x20 minutes de VS42, tôt le matin à jeun, sans ravitaillement.
Le volume de CàP sur 7 jours glissants, qui est mon indicateur préféré de volume d’entrainement, a atteint un pic à 118 km vers la fin février, avant de progressivement descendre vers 85 km puis de tomber sous les 20 km pendant la dernière semaine avant le marathon. Je crois avoir bien su gérer la fatigue.
Quel est mon objectif sur le marathon de Londres ce dimanche ? A dire vrai, je n’en sais plus trop rien.
Je suis incapable de revenir sur les 3h15-3h20. 3h30 me semble dans mes cordes. Mais je suis inscrit aux 100 km de Steenwerck, organisés seulement 17 jours plus tard (le 8 mai) en France, près de Lille. Devrais-je me contenter d’un temps raisonnable de 3h45 ou même 4h00 ?
Je pense me décider pendant la course, aux sensations.